LA BATAILLE DES ABSENTS
La bataille des absents
Un film de madjé ayité
Fiction 91 min, 2008
Contact
Universal grace production
08 BP 80416 Lomé TOGO
Tél : +228 965 36 45
Email : ugraceprod@yahoo.fr
Résumé
Akofa est une jeune diplômée sans emploi vivant dans un cercle de débauche et d’immoralités. Face à la vie chère, elle refuse malgré tout le gain facile, à l'inverse de Déla sa camarade. Seule contre tous, Akofa préfère garder son commerce de « pure water» pour subvenir à ses besoins et à ceux de Jacky sa petite sœur. Mais le malheur frappe autrement à sa porte. Résistera t elle à la proposition indécente de Jean ? Pendant ce temps, les minutes sont comptées pour Jacky …
Note du réalisateur
Ce que je trouve le plus difficile dans ma génération n’est pas la réalisation en soi d’un film africain ou togolais mais plutôt la réalisation d’un film idéal pour un public trop habitué à regarder des films occidentaux. Avec ce film qui traite des problèmes de la société togolaise, je cherche à faire sourire, pleurer et réfléchir un jeune ou un adulte. A chaque fois que quelqu’un voit l’affiche du film et se dit : « il faut que j’aille le voir », je serai en train d’accomplir ma mission c’est à dire apporter une pierre de plus à l’édifice du cinéma togolais.
LE REALISATEUR
Madjé ayité
Filmographie
1- La bataille des absents (2008), 91 min
2- Vanessa et sosie (2005)-,90 min, Prix de l’indépendance 2006, meilleur film
3- Rap génération (2004), 36 min
4- Avenir, reflet du passé, (2003), 54 min
5- Dis moi comment elle coule. (2008), 12min, Doc
6- L’héritage empoisonné (2006), 18 min
7- Katafiti 406, (2003), 23 min
8- La grande ville, (2002), 20 min
LES ACTEURS
Aysha lori
(akofa)
rosemonde assogba
(déla)
nolia sase
(jacky)
felix amemasso
(sewa)
vicky tsikplonou
(dorothée)
primus guenou
(jean)
bernadette amah
(brénam)
edo amegnibo
(bassim)
Viviane agbekovi
(céline)
destaing devo
(sory)
Critique
…Un scénario original, une beauté artistique, un langage vestimentaire impressionnant. Depuis des années, voilà encore un film qui a le mérite de renouer avec le concept du cinéma en salle au Togo…
Charles AYETAN,
journaliste-critique
La scénariste- productrice
Produire un film c’est comme assurer à un moyen de locomotion le nécessaire pour le faire aller à destination. Le moyen de locomotion détermine alors l’échelle de vitesse et d’embarras qu’on peut avoir. Il s’agissait donc pour moi dans ce film de le faire voler, courir, marcher ou ramper. Dans « la bataille des absents » mes capacités ont permis tout simplement de le faire marcher. L’aide de co-producteurs l’a fait courir. Très prochainement, j’ai la foi que la production sera capable de faire voler les films togolais.
Maquillage-coiffure
Kafui KODJO
De tous les plateaux de tournages auxquels j’ai assisté, c’est la première fois qu’on donne autant d’importance à mon métier. C’est dommage que beaucoup de réalisateurs africains ne comprennent pas encore le terme « industrie cinématographique ». je pense que le concept de l’APCC-54 est important pour l’industrie cinématographique africaine.
